CASTINGS Les loups doivent nominer deux candidats, une énigme sera envoyée à la petite fille. Cupidon va devoir désigner deux amoureux, le salvateur devra immuniser un candidat & la voyante décidera de la personne dont elle veut connaitre l'identité.
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Sujet: Re: (22/12 - 00:30) dodo, l'enfant dô Dim 23 Déc - 22:34
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Pacôme & Amanda i'm your nightmare
Comment pouvait-il réussir à me faire plaisir sans avoir à effleurer ma peau ? C’est très simple, il suffisait qu’il soit bien, qu’il trouve que je faisais du bon boulot et ça suffirait à me faire de l’effet. De toute manière il n’avait pas besoin de faire quoi que ce soit pour me rendre folle, folle de lui, de son corps comme c’était déjà le cas. Cette nuit il n’allait pas pouvoir beaucoup dormir je peux vous le dire et j’espérais que les autres ne viendraient pas nous interrompre au moins pour le moment, je trouverais un autre endroit dans lequel lui faire l’amour dans le cas contraire, il suffisait d’avoir un peu d’imagination après tout. M’appliquant à lui offrir une fellation parfaite je glissais ma langue contre le bout de son gland que je léchais avec sensualité. Je ne pouvais plus attendre, je mourais d’envie qu’il se glisse en moi et attendre davantage aurait relevé du surhumain. « Ô mon dieu ! » Je me caressais la poitrine remontant jusqu’à ses lèvres pour en prendre possession faisant glisser mon boxer le long de mes douces cuisses, j’étais nue à présent et prête pour la suite. Je m’asseyais à califourchon pouvant sentir son pénis contre mon intimité, c’est souriante que je le torturais un peu plus en me frottant contre lui, je pouvais sentir son sexe sur le point de me pénétrer sans jamais le faire réellement, il n’était pas maitre de la situation, c’est moi qui déciderait quand et comment je lancerais nos ébats.
On risquait de se faire voir par les candidats de la chambre de feu qui souhaiteraient aller se coucher. Manque de chance, nous en avions pas décidé ainsi avec Amanda. Cela avait commencé par une simple discussion mais je me retrouvais attaché au lit, sans la moindre possibilité de faire quelque chose à part subir. Quoi qu'il en soit, je ne m'en plaignais pas du tout. C'était l'un de mes fantasmes d'être soumis de la sorte. Quoi qu'il en soit aussi, c'était en réalité une torture ne pas pouvoir toucher Amanda, de ne pas pouvoir l'embrasser comme bon je le voulais... Elle avait quitté sa culotte et se retrouvais à présent toute nue sur mon corps déjà si chaud et en éveil. Elles e frottait à moi, rendant la chose plus insoutenable encore. Je me mordais la lèvre inférieure pour tâcher de rester discret en retenant mes gémissements mais d'ailleurs cela n'avait pas suffit quand les effets étaient plus intenses lors de la fellation. J'avais laissé ma voix s'exprimer. Là, c'était tout aussi dure, la chaleur de son sexe, la proximité avec le mien. J'avais juste envie qu'elle me détache et de la prendre sauvagement. Elle avait eveillé la bête.
Je savais à quel point il était difficile de ne pas pouvoir participer à l’action, tous les mecs aimaient être dominés mais lorsqu’ils avaient envie d’en faire plus c’était tout de suite plus embêtant. C’était la première fois que je menottais un mec, en temps normal je n’étais pas dans les délires comme ça mais avec Pacôme j’étais très imaginative. Ma poitrine pas forcément la plus grosse que la population ait pu voir bien au contraire et même si elle n’était pas énorme je ne complexais pas, je me voyais mal passer par la case chirurgie juste pour faire un gros bonnet, les seins ne pouvaient pas tout faire et puis, j’en avais suffisamment pour faire mon petit effet. Ma poitrine frottait donc contre le torse du beau minet, son corps était dur comme le béton et je me décidais à briser cette distance, je ne supportais plus d’attendre. Me relevant légèrement je reprenais son pénis en main pour l’aider à rejoindre cette partie de mon intimité qui me ferait du bien dans quelques minutes, je pouvais le sentir s’introduire en moi et retenir un petit soupir d’aise était impossible. Je m’accrochais à son torse commençant à sautiller avec un air sauvage et sensuel sur ses cuisses. Comment ne pas gémir, être silencieuse alors que je prenais énormément de plaisir ? Pacôme m’aidait en mettant des coups de bassin en moi, la seule chose qu’il pouvait faire de toute manière. Mon rythme cardiaque accélérait, ma respiration était saccadée et j’abandonnais bien vite l’idée de retenir mes gémissements, c’était au-dessus de mes forces.
Le moment que nous attendions depuis le début arrivait enfin. Je ne pouvais retenir à mon tour, un gémissement de soulagement quand je senti que je rentrais en elle. La frustration était encore plus grande quand tout commença. Nos respirations saccadées s'unissaient entre elles et malgré l'intensité que nous procuraient chaque mouvement, je ne pouvais rien faire de plus à part l'aider à atteindre l'orgasme par quelques coups de reins bien placés. Je n'avais plus la préoccupation de ne faire pas trop de bruit. L'action se faisait plus rythmé, les sensations plus prononcées. Je laissais un long gémissement sortir d'entre mes lèvres. Je tremblais un peu, à deux doigts d'atteindre le summum. Quelques secondes encore, un dernier mouvement de hanche, une derrière pression de sa part et nous, nous exprimons en cœur. Tout l'émoi de notre rapport sexuel. Les poings fermés sur les couvertures, je les agrippais. Amanda. Je t'en prie...détaches moi tout de suite Que je disais en la suppliant du regard. Haletant, le cœur prêt à lâcher. Le souffle court.
J’accélérai les mouvements de bassin, je prenais tellement de plaisir même si je préférais lorsque le mec prenait enfin les reines, j’avais envie de voir si Pacôme avait tout le package pour me faire atteindre l’orgasme, me dominer mais avant tout je voulais lui faire réaliser l’un de ses fantasmes, la main contre mon corps je gémissais de plus en plus fort, comment me retenir alors que son corps me faisait autant de bien. Je ne le quittais pas des yeux, je pouvais sentir à quel point lui aussi prenait du plaisir à me faire l’amour malgré le fait qu’il n’avait pas tous ses moyens pour être au maximum. Je ne sais pas s’il était en train de se retenir avant la jouissance extrême mais je me doutais qu’il n’en était pas loin à le voir se contracter de cette manière, je souriais amusée prête à décrocher mon ticket pour le septième ciel. « Amanda. Je t'en prie...détaches moi tout de suite. » Je prenais possession de ses lèvres accélérant une dernière fois mes mouvements tout en décrochant les menottes rapidement. « Montres-moi de quel bois tu te chauffes mon beau ! » Je me mordillais la lèvre plus sensuelle que jamais lorsque je lui demandais cela.
Le supplice était terminé. En m'embrassant Amanda détachait mes liens. Je ne perdis pas de temps à reprendre le contrôle. « Montres-moi de quel bois tu te chauffes mon beau ! » Je lui agrippais les hanches et pivota de façon à l'allonger instantanément sur le lit. J'écartais ses cuisses pour m'y loger dedans, l'embrasser d'abord avec fougue et hargne. Mon visage quitta le sien, mes mains retrouvaient les courbes de son corps et je retrouvais sous mes doigts la douceur de sa peau. Je palpais sa peau, je me délectais de ses formes généreuses en embrassant un peu partout. Son cou, l'entre de ses seins, ses seins eux-même. Je m'attardais sur ses mamelons, avant de poursuivre sur son ventre, de passer ma langue jusqu'à bordure de son bas ventre. Une main à l'intérieur de sa cuisse je la caressais, la provoquait en passant près de son sexe. Mon regard accrochant le sien avant de lui cajoler avec mes doigts. Ma main sur sur son sexe, je la massais tantôt en faisant des cercles, tantôt en pénétrant un doigt. Pendant ce temps, je m'attardais sur sa bouche, que je savourais. Je m'humectais les lèvres, lui mordillait les siennes et lui croqua la peau du cou. Avant de cessais mon massage coquin je m'abaissais jusqu'à son entre cuisse avec ma bouche puis quitta mon poste après quelques minutes pour la pénétrer tout doucement. Je bougeais mes hanches, tantôt rapidement, tantôt doucement, tantôt plus profondément - le souffle allait me manquer, le cœur allait exploser.
Sujet: Re: (22/12 - 00:30) dodo, l'enfant dô Mer 26 Déc - 15:39
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Pacôme & Amanda i'm your nightmare
Pacôme allait finir par péter un plomb si je ne le libérais pas de ses menottes et il se trouve que j’étais plus qu’ennuyée à l’idée de ne pas pouvoir en avoir plus, ressentir davantage de sensations grâce à ses mains, ses doigts, sa peau bouillante complètement collée contre la mienne et ses coups de bassin plus brutaux puisqu’il aurait des meilleurs points pour s’appuyer. Rien que d’y penser et mon corps se réchauffait pour prendre part à mon excitation, en un ou deux mouvements je lui retirais les menottes et il n’attendait pas plus pour reprendre possession de mes lèvres tout en me faisant perdre l’équilibre pour m’allonger au bout du lit, je me laissais faire lui mordillant la lèvre inférieure non sans le regarder coquinement. Ses lèvres, ses doigts déviaient de ma bouche pour rejoindre ma peau douce, il caressait ma poitrine, mon bas ventre, s’amusait avec mes mamelons m’arrachant des gémissements de plaisir, mes mains venaient se perdre dans ses cheveux alors que l’air commençait à me manquer. Il s’aventurait sur mon vagin n’hésitant pas à y insérer quelques doigts tout en m’embrassant, je gémissais appréciant pleinement le travail qu’il fournissait pour me procurer du plaisir. Il quittait une nouvelle fois mes lèvres pour venir accompagner ses doigts de sa langue sur mon bouton, le temps s’arrêtait et je me sentais plus excitée que jamais par lui, il savait s’y prendre il n’y avait pas à dire. « Pacôme… » Disais-je dans un long soupir, je voulais qu’il me fasse l’amour, maintenant sans perdre plus de temps. Il se redressait et je profitais d’une petite seconde d’inattention pour m’avancer et humidifier son pénis à l’aide de ma bouche, il était prêt pour un second round, se glissant entre mes cuisses je pouvais sentir son pénis tambouriner à la porte de mon clitoris, il me pénétrait d’un coup sec qui m’arrachait un cri que je n’étais pas parvenue à retenir, j’emprisonnais ses cuisses de mes jambes ressentant intensément chacun des vas et viens qu’il faisait en moi, il s’aventurait plus profondément et me retenir d’hurler de plaisir n’était plus dans mes cordes, au contraire, j’attendais de lui qu’il m’aide à atteindre les plus fortes notes vocales. « Hm… Vas-y, plus fort ! » Lui quémandais-je entre deux mots doux que je lui susurraient en caressant le lobe de son oreille de ma langue.