J'étais parti directement dans ma chambre, profitant que je sois le premier à m'y rendre pour espérer m'endormir avant. Je retirais ma casquette et la posa sur une chaise à côté de la porte. Puis mon tee-shirt atterrit jusqu'à un panier en osier que j'avais installé là pour éviter de laisser mon côté bordélique envahir la pièce. Oui, je ne voulais pas faire chier le monde avec mes mauvaises habitudes. C'était un moyen pour moi de me forcer à ranger. Je retirais mon jeans que je laissais par contre aux pieds du lit puis me glissa dans les chaudes couvertures. Elles étaient d'abord froides, normal ! Je passais une main dans mes cheveux et restais là, à regarder le plafond que pourtant je ne pouvais pas voir puisque j'étais plongé dans l'obscurité totale. Je n'avais pas spécialement envie de dormir mais plutôt le besoin de me retrouver seul un moment.

Le silence occupait toute la pièce et c'était agréable après une soirée passait auprès des autres. Si j'étais sociable, si j'aimais être entouré, parfois il m'arrivait de vouloir un peu de solitude. Histoire de faire redescendre la pression (mais au passage je n'étais pas du tout tendu, hein ?). Je passais une nouvelle fois ma main dans mes cheveux avant de fermer les yeux quelques secondes. Mais je les ouvrais de suite après, en entendant une voix. Pacôme… T’es là ? Je souriais en coin, reconnaissant la personne qui se trouvait je ne sais où dans la pénombre. Présent. Que je répondais en me redressant sur mes coudes. Je ne voyais absolument rien mais je n'avais pas non plus envie d'allumer la lumière. Tu viens me tenir chaud ? Que je disais en riant doucement. Je patientais, sagement son approche.

En voyant le diapo de Candice, j'avais rit et j'avais apprécié qu'elle parle de moi. J'entendais Amanda avancer - comme si mon ouï était surdéveloppement. En fait c'était un peu vrai. Je pouvais entendre une mouche voler dans une autre pièce parfois - quand tout était silencieux autour bien entendu. Je n'étais pas un super héros après tout. Je m'humectais les lèvres riais aussi de bon cœur en l'entendant faire. Je sentais les couvertures s'écarter et je tournais la tête comme si je pouvais la voir. Sauf qu'en fait ce n'était pas vraiment le cas. « Ouaip, je me suis dit que tu aurais peut-être besoin d’une ‘’mamie’’ pour te tenir compagnie ! » Je pouffais doucement, à croire qu'elle pensait à ce que je pouvais songer aussi. Télépathie peut être ? Une "couguar" sexy alors. J'avais mimer les guillemets avec mes doigts au dessus de la tête. Je rigolais bien sûr. D'ailleurs...je trouve que ça n'a pas fait d'effet à Loxias. Peut être que je posais une question délicate mais c'était trop tard. Je pouvais sentir ses cheveux me caresser l'épaule à chaque fois qu'elle bougeait un peu. Je risquais de me faire arracher la tête si nous restions proches comme ça ou pas ? Ma main frôlait son bras par accident. Je rougissais mais fort heureusement, il n'y avait pas de lumière pour s'en rendre compte. Je ramenais mes doigts sur mon ventre.

Je faisais en sorte de garder un espace entre nous. Histoire de ne pas trop la...toucher. Bien que ce n'était pas désagréable, ni rien. Mais c'était une question de principe. Sa voix semblait être une berceuse dans ce noir. Elle m'apaisait quelque peu. Tu sais… J’attends de croiser Loxias mais… Cette aventure m’a permis d’ouvrir les yeux, lui et moi on n’est clairement pas fait pour être ensemble ! Je fronçais légèrement les sourcils. Etrange - dans une maison comme celle ci comment faire pour éviter quelqu'un ? Enfin...je pensais que c'était un peu le cas avec Woody. Je ne lui avais pas adresser la parole de toute la semaine. Le prime n'en parlons pas. On dirait que je n'existe plus à ses yeux. Bien que cela ne me dérange pas, que je n'en prends pas pour ma fierté, j'étais un peu déçu quand même... j'espérais pouvoir converser avec elle dans les prochains jours, histoire de peut être mettre les choses au clair si c'était ce qu'il fallait... Tu es moins maso que les couples qui vont à L'île de la tentation pour tester leur couple Je ris doucement mais me rend compte qu'elle ne connait peut être pas le principe ? Etant une émission française. Je ne savais même pas si c'était un dérivé d'une émission à la base américaine... Genre tu vois, des couples se ramènent sur une île paradisiaque. Des gonzelles et des mecs sexy pour tenter de faire pêcher un tel ou une telle. J'ai toujours trouvé le concept idiot. Soit... Je parlais trop, je remuais peut être le couteau dans la plaie non ? Bref. Peut être que vous devriez parler. Bon c'est...peut être un peu étrange qu'il t'évite mais...cela ne veut peut être pas dire que c'est fichu. Enfin bon je dis ça mais je connais pas la base de votre couple hein. Je souriais doucement en essayant de percevoir son visage. C'est déstabilisant de parler dans le noir. Heureusement que je ressentais la présence de Amanda près de moi pour savoir que je n'étais pas seul à parler comme un fou.

Oh je vois, c’est le type d’émission dans lequel il y en a toujours un des deux qui va se faire un participant devant les yeux ahuris de son binôme qui en fait autant et tout fini en clash c’est ça ? Je riais avec elle. Oaui voilà...c'est généralement comme ça que ça se fini. Bon sang mais en y repensant qu'elle émission de merde quand même...J'avais je n'aurai l'idée de postuler. De toute façon, il fallait commencer par avoir une copine pour s'y rendre, chose qui n'était pas gagné puisque les histoires de couple, non merci. J'étais jeune, je n'avais pas envie de me caler maintenant, logique. Je voulais profiter de ma jeunesse. Déjà que je trouvais que l'on grandissait trop vite... Et c'était de là en écoutant Amanda parler brièvement de Loxias que je jouais le rôle de confident/conseiller. Bon je n'étais pas forcément doué pour les conseils mais c'était bien non ? J'avais l'impression ensuite de l'avoir mit en confiance et mine de rien ça faisait plaisir. Car à ce stade de l'émission c'était rare...on ne connaissait personne - il fallait comme recommencer à zéro. Comme quand on arrivait dans une nouvelle école. Sa conclusion semblait définitive. Je me pinçais les lèvres, ne sachant d'abord pas quoi dire. Désolée, je te raconte un peu trop ma vie là ! Je souriais en coin. Ah mais pas de soucis. En fait...ça fait plaisir. J'veux dire...on a juste passée une semaine et tu te confie à moi de façon naturelle. Comme si on se connaissait depuis plus longtemps. J'ai...ça me donne l'impression que tu me fais confiance et c'est très flatteur. Je marquais une pause. Et tu peux me faire confiance. A sa dernière remarque, je n'attendais pas son accord pour venir allumer la petite lampe de chevet. C'est mieux ! Je la regardais.

Le fait que je pouvais lui faire confiance m'avait "sauté aux yeux". Je ne rajoutais rien, considérant que le sujet était arrivé à sa fin. Je m'humectais les lèvres puis en me retournant pour lui faire face après avoir allumé la lampe, je me rendis compte du petit sourire qu'elle me lançais. J'avais senti son regard sur mon torse et cela avait le don de rallonger ma joie. Tu fais du sport toi non ? J'attendais pour répondre, plongeant mes yeux dans les siens. Je fais du skate depuis l'âge de 8 ans. Après je fais un peu de muscu mais ça entretien aussi le corps de faire de la planche. Et bon sang qu'est-ce que je pouvais aimer ça. Combien de gamelles ? Beaucoup oui mais le fait d'apprendre à tomber épargnait un peu mon corps qui malgré tout à certains endroits, restait marqué. Je suppose aussi que tu en fais. Cela pouvait être que vrai, avec le corps qu'elle avait. Mais cette remarque, je la gardais pour moi. Entre nous, Amanda était bien foutue. Je me rapprochais doucement, observant la mèche de ses cheveux qui partait n'importe comment près de sa joue. Si dans le noir, je le n'avais pas vu, le fait d'être plongés dans une lumière tamisée me donnait envie d'arranger cela. J'hésitais puis approchais ma main vers sa joue pour pouvoir toucher ses cheveux. Je rabaissais mon bras, le laissant tomber sur la couette puis m'éclaircissais la gorge. Cela me stressé. Je souriais en coin.

Si je prenais soin de mon physique, si ça me plaisait à sentir le regard de certaines sur moi, vu comment c'était toujours flatteur je n'étais pas, je pense - un kéké de service. Je n'étais pas du tout narcissique. Ok, il m'arrivait de m'exhiber n'ayant pas de complexe mais quand même. C'était pas être fier de son corps ça, si ? Je sentais le regard de Amanda sur mon torse - je sentais aussi sa main venir se poser sur mon ventre. Et cela me valut une montée chaleur et des frissons. « Je vais peut-être me mettre au skate alors. » Je souriais en coin et ne cessais pas de la fixer, prenant un certain plaisir d'ailleurs à le faire. Ouais, mais j’en fais également beaucoup quand je bosse. J'étais curieux de savoir à quoi consisté son travail. Ah oaui ? Et ton boulot il consiste en quoi ? J'avais l'air intéressé et c'était véritablement le cas. Je patientais sa réponse, bien que peut être ne voulait elle pas développer la chose. [...] Je venais de remettre en place sa mèche de cheveux et je ne savais plus quoi faire de mes mains. Sans avertir, Amanda commençait à retirer sa robe. « Je meurs de chaud ! » Moi aussi d'un seul coup... J'avalais ma salive puis la regardais toujours. Je laissais mon regard glisser sur les courbes de son corps : son ventre plat, ses seins, ses cuisses... je me délectais de son corps sans même y toucher. A cet instant elle me faisait plus d'effets que d'habitude. Amanda était aguicheuse sans le vouloir - à moins qu'elle faisait exprès de se dévêtir ? Moi aussi. Que je lâchais sans m'en rendre compte.

Je connaissais Amanda depuis peu mais ce que je pouvais apprendre était toujours quelque chose de bien. C'était attirant, intriguant, captivant. Amanda avait l'ai intéressante et ça je n'avais pas de doute. Alors quand elle commença à parler de son travail, j'étais suspendu à ses lèvres - à l'écouter comme un enfant. C'est que ça doit être dangereux ! Que je commentais. Il était vrai que travailler derrière un écran d'ordinateur était franchement moins risqué. Je veux être webdesigner. Que je lâchais comme ça. Je savais qu'elle ne s'en foutait pas, voilà pourquoi aussi je lui avais dit. Soit, je lui souriais puis passa à un autre sujet - davantage quand elle me posa la question à savoir ce qu'on pouvait faire. Franchement...à la voir aussi peu vêtue, une seule idée me venait en tête. L'air taquin, en souvenir aussi à notre discussion autour d'un chocolat chaud la semaine dernière, je commençais à parler. Tu aurais pas tes menottes pour me faire une démonstration ? Je ferai le méchant criminel pour que tu m'expliques comment on les accroche. J'aurai put rire de ma bêtise, mais j'étais plus que sérieux à la regarder dans les yeux d'une façon peut être plus aguicheuse que d'ordinaire.

Plus je la regardais et plus je sentais le désir monter en moi. Je m'humectais les lèvres, je me les pinçais. Elle me demanda d'approche ma main mais Amanda s'en chargea personnellement. La seconde qui suivait, je me retrouvais à toucher son ventre - une cicatrice sous mon index. Je la fixais un moment avant de replonger mon regard sur Amanda. Tu as dut avoir peur ! Dis-je dans un souffle. Quand je confiais l'idée qu'être webdesigner me plairait, je fus heureux de constater qu'elle était tout bonnement intéressée. C’est un beau métier, tu es fort en dessin en dehors des ordinateurs ? Je souriais en coin, baissant mon regard un instant. On dit que je le suis donc... Je riais doucement. Bah tu vois - les tatouages que j'ai c'est moi qui les aient d'abord réalisé sur papier. J'ai même fait Timon et Pumba. Souvenir de mon enfance. Je riais comme un gosse à présent, presque les yeux pétillants en regardant mon tatouage. Tu as des tatouages, toi ? Que je demandais. Je n'avais pas cherché à remettre les couvertures en place, étant découvert jusqu'au hanches. Je restais là, à attendre. Une chance que la production m’a autorisée à les prendre avec moi au cas où. Sur le coup je ne la croyais pas mais envoyant qu'elle se levait pour filer, je réalisais que peut être elle disait la vérité. Je ne m'étais pas gêné pour la reluquer. Et quand elle revenait, la vue était tout autant agréable. Elle avait ce ventre plat, musclé, ses jambes fermes et ce derrière bien taillé qui ne me laissait pas indifférent en plus de sa petite poitrine. Le regard qu'elle me lança à son retour était un peu plus sauvage que les derniers. Je m'humectais les lèvres, ayant plus chaud encore. Insulter les forces de l'ordre peut être ? Que je demandais, un sourire niais sur le visage. Nique la police ? Que je murmurais pour rire.

Je serais une menteuse si je te disais que non mais… Pas plus que ça, malgré le coup je ne me suis pas arrêté, j’ai pensé aux cinq petites filles de huit ans qu’il venait de violer et de poignarder et c’est ce qui m’a permis de le mettre K.O. malgré l’envie de m’évanouir tellement la douleur était intense ! Je l'écoutais parler, captivé par son récit. Il me prenait de toute part comme un épisode des séries policières mais sans doute plus que quand j'étais devant ma TV à imaginer. Parce que là au fond, c'était la réalité qu'elle me disait. Je grimaçais, quel enfoiré de criminel. Cela doit pas être facile tous les jours. dis-je calmement. Nous parlions ensuite de mes tatouages et de son possible souhait mais tout compte fait, il s'avérait qu'elle avait peur des aiguilles. Je ne pouvais retenir un rire. Tu risques ta vie tous les jours, tu as affaire à des criminels super dangereux mais tu te dis trouillarde ? Je marquais une pause. Tu sais, si un jour ça te dis - je pourrais me charger de dessiner ton futur tatouage. Je lui souriais. [...] Puis elle revenait, blagueur j'insultais la police, bien que je n'en pensais pas un mot. Mais cela avait jute eu le don de la faire rire. Je fis la moue. Euh… Non… Lèves toi et… Essaye de me mettre un coup ! Mhm, j'étais plutôt hésitant - taper une fille. Bon ok j'étais pas le plus costaud des mecs sur terre mais même, je ne supportais pas l'idée de faire du mal aux femmes. Je sortais du lit cependant, m'approchant d'elle, vêtu de mon boxer qui moulait mes fesses magnifiquement bien, parait-il. Juste le temps de lever le bras et de serrer du poing, de l'emporter jusqu'à la joue d'Amanda mais sans ma vraie force que je me retrouvais bien vite maitrisé. Sur le coup cela me fit rire. Quelle honte. Mais soit, au pire je m'en fichais. Je frémissais en sentant son corps proche du mien quand elle me jeta sur le lit. La menotte attachée au barreau du lit, j'étais allongé dessus, Amanda en califourchon sur moi. Il semblerait que tu sois embêté maintenant n’est-ce pas ? Je la regardais, le rire au bord des lèvres. Le souffle court, je la regardais, aussi le cœur battant. Je ne voulais pas te taper. Je n'ai jamais levé la main sur une femme c'est pas maintenant que je commencerai. Je lui adressais un regard en coin. Je m'humectais aussi les lèvres. Je la regardais, sans gène et de ma main libre je lui caressais le genoux. Je rêve ou...l'un de mes fantasmes risque de se réaliser ce soir ? Je marquais un silence pendant lequel je continuais de remonter ma main sur sa cuisse. Profitant que je sois encore un peu libre. L'air coquin.

Si ça continuait, ça allait être mon boxer qui se retrouvait au feu... Quand est-ce que tu comptes me montrer que tu as des défauts beau brun ? Je souriais. Je suis loin d'être parfait. Je suis possessif, jaloux, bordélique de première, très susceptible, je suis une tête brulée dans certains cas et je veux toujours avoir raison, même quand j'ai tort. On dit parfois que je suis un peu trop con mais les gens je les emmerde. Après tout j'étais jeune, pourquoi perdre du temps à se prendre la tête pour un rien ? [...] Revenons aux choses sérieuses. Je me retrouvais attaché au lit et ma liberté minimale, j'en était vite privé ! Ma deuxième main, fut vite attachée à son tour. Je me pinçais les lèvres, de plus en plus excité. La situation prenait un tournant bien particulier et j'appréciais la chose comme Amanda pouvait aussi aimer. Elle en donnait l'impression de toute façon. Elle se mordait elle aussi la lèvre inférieur et bon dieu, que ça me faisait de l'effet. Sa main à bordure de l'élastique de mon boxer encore plus. Je frémissais de tout mon corps, les yeux plus brillants que jamais. Je pouvais bouger que mes jambes mais encore - le fait qu'elle soit en califourchon limitait aussi bien mes mouvements. Soit, je resterai là, livré à Amanda. Après tout pourquoi résister à la tentation ? J'avais soudain, très envie d'accrocher ses lèvres pour les embrasser. Approche toi un peu. Que je voulais te chuchoter quelques mots pour les garder pour nous et non pas les partager avec les caméras. Bon sang...on s’apprêtait à faire l'amour devant des milliers de personnes là ? Tant pis. Je crois que d'ici quelques minutes je serai moins tenable. Enfin - je ne pouvais rien faire à part me soumettre mais voilà... J'avais tellement chaud. Quand elle se pencha vers moi, j'en profitais pour pouvoir capturer ses lèvres. Je me les approprié d'abord en les attrapant doucement avec mes dents, puis de plaquer nos bouches ensemble.

La jalousie n’est pas un défaut mais une preuve d’amour Pacôme, médites ça. Je souriais. Sans doute, oui. Mais je n'avais plus envie de réfléchir là. En fait je n'étais plus apte à penser logiquement. Je tremblais un peu, beaucoup de désir. Je me mordais encore la lèvre inférieure avant de goûter aux siennes. Elles avaient un goût totalement délicieux et la façon qu'elle avait de prolonger notre baiser témoignait bien de son désir. C'était réciproque, je me sentais de plus en plus à l'étroit dans mon boxer. J’espère que tu n’es pas fatigué… Du tout, non. Que je répondais. Bon sang ! Je m'apprêtais à faire l'amour avec Amanda. Je ne sais pas si je réalisais la possibilité que cela arrive un jour mais en y repensant, c'était plausible. Et à présent, nous y étions. Je ne la quittais pas du regard, suivant la course de sa main sur son ventre. Ma respiration était plus saccadée que d'ordinaire. J'avais l'impression d'avoir la peau bouillante et son corps contre le mien me brûlais un peu plus. Elle dégrafa son soutien-gorge mais le gardait encore sur ses épaules. Je restais sur ma faim mais patientais, en prenant plaisir à l'embrasser langoureusement. C'était un supplice de ne pas pouvoir attraper son visage entre mes mains. C'était dans mes habitudes de le faire à chaque fois mais là je ne pouvais pas. Quand sa bouche libéra la mienne, j'en redemandais encore mais ses baisers dans mon cou me faisais frisonner. Je laissais échapper un petit gémissement, étouffé comme je le pouvais. C'est de la torture. Que j'arrivais à dire entre deux souffles. Sa descente sur mon torse était un régal. Mon ventre se serrait, dans mon corps brûlait un feu ardant. Son regard aguicheur, pour supporter les effets de celui ci, je me pinçais la lèvre. Quand je sentais mon boxer glisser un peu, j'avais envie de bouger pour lui agripper les hanches mais je fus bloqué dans mes mouvements par les menottes. Raaaah !

PS : un minimum dans la description, en restant soft, préférant les métaphores, tout ça :)