Le zoo ! Sincèrement qui n'aime pas admirer les animaux et autres mammifères dans leurs habitats naturels ? D'accord, je le sais, on dirait un publicité, en réalité on est tous au courant qu'on ne verra que trois pauvres singes dans une cage et un lion qui tourne dans 4 m², seuls les poissons ne voient pas la différence entre l'océan et la piscine géante qu'ils ont ici. Et pourtant à chaque fois que je passe devant une cage, je suis comme une enfant et puis le zoo offre un magnifique parc en plus des animaux. Bref, je voulais voir cela avant de quitter la maison, enfaite je voulais tout découvrir avant cela et même si j'aimerai me dire que j'ai le temps, j'ignore de quoi les nominations seront faite. Ma mission : trouver quelqu'un pour m'accompagné le temps de ma visite, se balader seule ce n'est jamais très drôle. Par chance un petit sourire charmeur et des yeux de chiens battus avaient réussi à attendrir Caleb, enfin je crois puisque que c'est le seul qui avait accepté de m'accompagné. Et je vous avouerai que je n'ai pas chercher à en savoir plus. En arrivant au zoo, je regardais la grande carte devant nous qui nous indiquait les différents lieux où trouver les animaux, je me tournais alors vers Caleb en souriant. « Une préférence entre les singes et les pingouins ? »

Nous débutions la troisième semaine et autant vous dire que j’étais très heureux d’avoir toujours une place dans cette aventure, je me redécouvrais, la joie de vivre et la folie de mon adolescence étaient toujours là, je m’en rendais compte seulement maintenant parce qu’il y avait eu cette horrible période qui m’avait enlevé toute capacité à être aimable, vivre dans la rue n’avait rien de joyeux en plus de ça. Je m’étais trouvé face à un paradoxe pendant quelques heures, un énorme dépaysement lorsque j’étais arrivé dans le coin avec mes valises à la main pour commencer l’aventure et le public semblait suffisamment m’apprécier puisque j’étais toujours là malgré une nomination. Pour être honnête j’étais bien heureux de ne pas avoir été nommé la semaine dernière, cinq candidats avaient été éliminés et c’était vraiment énorme à mes yeux, nous étions beaucoup moins tout d’un coup. Bref, alors que je pensais dormir pendant toute la journée Carolyn avait fait irruption dans la pièce avec son petit regard de chien battu et son sourire charmeur, comment aurais-je pu résister à son invitation ? Vous l’avez bien compris, c’était tout simplement impossible. Nous irions donc au zoo tous les deux, une fois à l’intérieur nous prenions le temps d’observer le panneau directionnel. « Une préférence entre les singes et les pingouins ? » Je souriais amusé lui répondant du tac au tac. « Si tu veux voir ton sosie on va aller chez les singes… Sinon… Les pingouins. » Je pouffais de rire, la taquiner était mon petit plaisir.

Ne jamais sous-estimé le pouvoir des yeux de chiens battus, je suis sur qu'on peut conquérir le monde avec ce regard triste. Quoi qu'il en soit ma mission était de convaincre Caleb de m'accompagné au zoo et j'avais réussi, une petite victoire personnelle que j'appréciais. Déjà beaucoup de personnes ont été éliminés et le pire c'est que ce n'était que des villageois, l'étau se resserre et j'ai envie de changer d'air. Regardant le grand panneau à l'entrée du zoo, j'avais le plaisir de constater qu'il y avait pas mal de choses à voir et par gentillesse (et parce que je l'ai déjà pas mal embêter) j'avais décider de laisser Caleb choisir où aller. Je souriais en entendant sa réponse. « Qui n'a jamais rêver de rencontrer son sosie ? On croiserai peut-être le tien aussi avec un peu de chance. » Je riais ensuite légèrement avant de lui taper légèrement sur l'épaule. Rien de bien méchant mais bon, il faut dire que sa phrase était loin d'être un compliment, même si il en fallait plus pour me vexer.

Si j’avais accepté aussi facilement de rejoindre Carolyn pour une virée au zoo ça n’était pas entièrement à cause de ses beaux yeux qui me faisaient fondre à chaque fois comme un débutant. Il y avait certes une énorme part de sa manière de m’avoir exprimé son envie d’y aller avec moi mais c’est aussi parce qu’elle me plaisait, ne croyez pas que j’avais envie de faire des choses peu catholiques avec elle-même si l’idée ne me déplaisait pas bien au contraire, son caractère était juste très ressemblant au mien, je l’appréciais énormément malgré nos brèves rencontres jusqu’à maintenant. « Qui n'a jamais rêver de rencontrer son sosie ? On croiserai peut-être le tien aussi avec un peu de chance. » Je souriais amusé reculant d’un centimètre lorsqu’elle me mettait un petit coup de poing, je l’entourais de mon bras amicalement réfléchissant à ce que j’allais bien pouvoir répondre à ça. « Si je veux croiser mon sosie on va devoir se rendre devant les autruches alors. » L’autodérision, quelque chose que je connaissais aussi bien que la vie dans une poubelle.

Nous n'avions pas encore bouger de devant le panneau mais je m'amusais déjà et je savais qu'il n'y avait qu'avec Caleb que je pouvais m'amuser autant, simplement parce qu'il avait pratiquement le même humour que moi, un peu enfantin et pas toujours très drôle pour les autres. Et puis, c'était l'occasion pour qu'on se connaisse un peu plus. Le petit coup dans l'épaule j'avoue que j'aurais pu l'éviter mais il avait été plus fort que moi, ma petite manière à moi de lui dire que c'était pas très gentil comme réponse sans pour autant que sa réponse me vexe et me fasse faire la tête durant des jours, je ne suis pas aussi stupide. Il posa son bras autour de moi avant de parler des autruches. J'étais surprise de le voir se comparer à une autruche, j'ai cru qu'il allait me dire qu'il était un lion ou un tigre mais non. « Les autruches ?... Intéressant ... Toi aussi tu enterre ta tête pour entendre les vibrations ? » Je riais.

Carolyn était peut-être plus vieille que moi comme la plupart des autres candidats de cette première édition mais il n’empêchait que nous avions un peu le même caractère, malgré mon passé qui ne me rendait pas fier et que je n’exhibais pas à tort et à travers j’étais parvenu à rester le même, les galères n’avaient eu qu’un impact limité sur ma manière de voir la vie, je me méfiais juste un peu plus des autres, je faisais en sorte de ne pas en attendre trop et je vivais au jour le jour, une chose impossible à ne pas prendre en considération lorsqu’on vivait quelque part dans une ruelle sombre sous un carton déchiré et puant la pisse de chat. J’avais conservé le même humour cinglant qui vexait parfois les destinataires et j’étais très heureux d’avoir quelqu’un dans la maison avec qui partager cet humour, avec Carolyn j’étais toujours de bonne humeur, je me sentais vivre comme je l’entendais et si l’aventure devait s’accentuer je ferais en sorte que nous puissions nous rendre aussi loin que possible tous les deux. « Les autruches ?... Intéressant ... Toi aussi tu enterre ta tête pour entendre les vibrations ? » Je gardais malgré de grosses difficultés mon sérieux lui répondant du tac au tac. « Oui, et je cours après les petits animaux pour leur mordre les fesses… Les humains aussi d’ailleurs… Tu veux que je te montre comment enterrer ta tête dans le sable ? » J’explosais de rire, à nous deux nous formions une belle brochette quand même.

Merci Discovery qui m'avait appris la vie de la jungle et donc ce petit détail sur les autruches. Moi qui pensait que cela ne me servirait jamais à rien, il faut croire que j'avais tort, surtout que je me suis toujours demander pourquoi j'avais regarder un tel documentaire, parce que soyons réalistes, les documentaires m'ont toujours horriblement ennuyée. Et puis, ce n'est pas comme-ci les animaux de la jungle allait débarquer aux USA autrement qu'à travers les zoo où le but est justement de se moquer de ce que font naturellement les animaux et non de les comprendre. Je sais, les humains sont horriblement cruels mais bon, c'est la vie. Quoiqu'il en soit, j'étais surprise que Caleb est choisi l'autruche parmi tout les animaux du zoo. Je riais ensuite tout en imaginant le cours qu'il allait me donner, je nous voyais tout les deux la tête dans le salle au milieu du parc et franchement, on avaient l'air cons, mais vraiment très cons. « J'ai cru que tu allais m'apprendre à mordre les fesses des gens. » Je riais simplement. L'avantage avec Caleb, c'est que je peux dire ce que je pense même un truc pourri, je sais qu'il le prendra bien. Pire encore, je sais qu'il aura la réplique qui suis mon délire. « Hum.. Ouais, je veux bien que tu m'apprennes ça peut toujours servir.. ou pas. » Je riais.

Je n’étais pas forcément un expert dans ce qui concernait le domaine animal, j’avais des connaissances de base et lorsqu’une espèce m’intéressait plus qu’une autre je n’hésitais pas à faire quelques recherches à la bibliothèque puisque je n’avais pas de connexion internet dans ma petite ruelle puant les excréments. Doté d’un puissant sens de l’autodénigrement je n’avais pas hésité à choisir l’autruche, un animal qui, soyons honnêtes n’avait rien de bien appréciable sauf peut-être le fait que ce soit un animal pervers qui ne ratait pas une occasion de pincer. « J'ai cru que tu allais m'apprendre à mordre les fesses des gens. » Je riais, nos journées à Carolyn et moi étaient essentiellement basées sur la rigolade, c’était rafraichissant. « Oh non, c’est pour les élèves qui ont déjà un certain niveau dans l’apprentissage du comportement de l’autruche, tu es encore trop inexpérimentée tu vois. » Je riais une nouvelle fois m’imaginant déjà en train de lui montrer comme ressentir les vibrations même si, pour le coup il n’y avait aucun endroit pour enterrer sa tête. « Hum.. Ouais, je veux bien que tu m'apprennes ça peut toujours servir.. ou pas. » Je souriais amusé. « Ou pas… Bon, alors voilà la petite astuce, toujours avoir les fesses en l’air okay ? Démonstration. » S’il y avait des gens tant pis, je prenais le risque de faire le pitre. Les fesses en l’air, la tête contre le béton j’inspirais avec une énorme envie de rigoler tellement je devais être pitoyable à voir.

Un cours d'autruche, il n'y avait que Caleb pour inventer une telle chose mais je m'en fichais, cela m'amusait beaucoup et je le suivais les yeux fermés. Je jouais le jeu et le rôle de l'élève qui voulait tout apprendre. Il me parlait de la capacité qu'on les autruches à mordre les fesses des gens, enfin c'était surtout la partie mordre qui intéressait ses animaux, ils étaient d'ailleurs connu pour cela. Naturellement, j'avais joué sur sa phrase tout en riant légèrement. « Qui aurait cru que c'était si compliqué d'être une jolie autruche. » En réalité, non, savoir faire l'autruche (l'animal pas l'expression) ne servait strictement à rien. Vous imaginez des gens en plein milieu de la ville qui pour mieux entendre les sons enterres leurs têtes ? C'était stupide et puis très utile mais j'étais curieuse de voir jusqu'où il pousserait la blague et si il le ferai vraiment. Je ne pu donc retenir un rire franc en le voyant faire, c'était encore plus marrant que ce que j'aurais pu penser. Je le regardais avant de dire entre deux rires. « Je viens de me rendre compte que c'est dangereux quand même. » Je raclais ma gorge afin de retrouver un voix digne de ce nom. « Imagine qu'il y ai une autre autruche dans les parages. » J'avais hésité un bref instant avant de finir ma phrase, histoire de mettre un peu de suspense à tout cela. Puis j'avais fini par lui pincer légèrement la fesse, rien de bien méchant je ne voulais pas lui offrir une jolie marque bleu quand même mais suffisamment pour qu'il le sente. « Elle peut te mordre sans difficulté. »

Je devais être le seul mec capable d’avoir aussi peu envie de plaire aux autres au point de faire le con en public comme ça. Ouais, ici nous avions pas mal de beaux garçons qui venaient de bonnes familles et qui faisaient vraiment attention à tout ce qu’ils entreprenaient. Moi je n’en avais clairement rien à cirer, si je devais faire une imitation de l’autre sur le béton, les fesses en l’air devant tous les passants je le faisais et je ne me posais même pas la question de savoir si oui ou non je devais réfléchir aux conséquences de mes actes. Peut-être que c’est justement ce qui séduisait Carolyn chez moi, le fait que je sois complètement timbré, mon second degré était un élément omniprésent dans mon caractère, j’étais le roi des sarcasmes et autres phrases ironiques. « Qui aurait cru que c'était si compliqué d'être une jolie autruche. » Je souriais amusé m’enfonçant dans ma connerie un peu plus encore. « A qui le dis-tu… Tu sais… J’ai dû vivre un an dans une tribu d’autruches africaines, ça n’a pas été tous les jours facile… Je sais ce que c’est de manger des graines qui donnent la diarrhée et… Non, je n’ai même pas envie de parler de mon calvaire. » J’improvisais au fur et à mesure de mon récit me surprenant moi-même tellement j’avais de l’imagination, je ne parvenais même pas à être sérieux, j’explosais de rire débutant mon imitation de l’autruche qui essayait de ressentir les vibrations. Je provoquais l’hilarité des passants mais également de Carolyn. « Je viens de me rendre compte que c'est dangereux quand même. » Je souriais amusé restant le cul en l’air. « T’as vu… » Je n’entendais bien sûr aucune vibration à part celle qui venait d’être créée par la voiture du service d’entretien qui passait pour réparer une panne de courant. « Imagine qu'il y ai une autre autruche dans les parages. » Je n’avais rien le temps de répondre qu’elle me pinçait les fesses, je me relevais avec un regard faussement outré. « Elle peut te mordre sans difficulté. » Je souriais amusé m’approchant d’elle avec un petit regard coquin. « Moi aussi je peux la mordre. » Sans prévenir je me jetais sur ma camarade que je ruais de chatouilles en gloussant sans aucune discrétion.

La tête en bas et les fesses en l'air, c'était la position de Caleb et pourtant cela ne nous empêchait pas de discuter au milieu du zoo comme-ci rien n'était. Enfin, il y avait beaucoup plus de rire non-contrôlé mais c'était surtout liée à la manière étrange dont les gens nous regardaient. Pourtant je parierais que si c'était une scène qu'ils auraient vu à la télévision, ils auraient éclatés de rire mais en vrai, c'était soit un rire qu'ils essayaient de cachés, soit ils nous regardaient comme-ci nous étions complètement fous, mais je m'en fichais. Je m'amusais et c'était le principal, je l'écoutais donc me raconter cette histoire tribu d'autruche. Une histoire vraie ? J'en doutais, même si je ne connaissais pas grand-chose de la vie du jeune homme, je ne l'imaginais pas vivant en mode Kirikou au milieu de je-ne-sais-où et élevé par des autruches. « C'est dommage, je serai curieuse d'en savoir plus sur la vie d'un Kirikou tout blanc. » J'eue ensuite une idée peut-être un peu bête c'est vrai mais bien trop tentante pour qu'elle ne reste qu'une idée. En effet, je me souvenais qu'il m'avait parlé d'une histoire d'autruche qui mordait les gens et non, je n'allais pas lui mordre les fesses en plein milieu du zoo, mais le pincer me ressemblait parfaitement. C'est d'ailleurs exactement ce que je fis tout en riant et en lui expliquant la nature de mon geste. Je le regardais naturellement en prenant un air d'incompréhension. « C'est risqué, non ? » Je lui souriais naturellement et je dois bien avouer que je ne m'attendais pas à ce qu'il se venge en me sautant dessus. Pour une fille assez chatouilleuse comme moi, il fallait que je me défende au minimum de tout cela alors j'essayais de me débattre en peu et de le repousser, même si soyons réaliste entre sa force et la mienne, il n'y a pas vraiment photo.]

Dans cette aventure personne ne savait énormément de choses sur moi, une volonté de ma part de ne pas me mettre en avant sur le côté personnel parce que je n’étais clairement pas fier de ma vie. Je n’avais pas la chance d’être un gosse de riche, non bien au contraire la seule chose qui me caractérisait c’était le fait d’être un clochard, un vrai et si les gens voulaient prendre pitié pour moi je refusais encore plus d’en parler. J’en faisais une force plutôt qu’un objet qui ferait pleurer sous les chaumières, j’étais un battant après tout. Peut-être que Carolyn serait la première à en apprendre plus sur moi, elle me mettait suffisamment en confiance pour que je puisse y aller de mes petites confidences, je mourrais d’envie d’en savoir plus sur elle également. Elle m’intriguait énormément. « C'est dommage, je serai curieuse d'en savoir plus sur la vie d'un Kirikou tout blanc. » Je souriais prêt à lui dire ce qu’elle voulait entendre quitte à dire des grosses boulettes sous l’improvisation. « Oh tu sais, il n’y a pas grand-chose à dire, ma famille autruchienne a été kidnappée par une réserve naturelle, j’étais avec eux mais un zoo nous a achetés et… Ils n’ont pas voulu de moi… Après me voilà dans cette aventure. » Je souriais amusé même si je prenais un air faussement abattu, comme si c’était encore douloureux pour moi. Elle m’avait délibérément pincé les fesses et elle méritait un châtiment, je m’attardais à la chatouiller en gloussant comme un gamin, au bout d’un moment je décidais d’arrêter pour reprendre mon souffle puisque je rigolais trop. « Alors ? Tu veux faire l’autruche ? »

J'écoutais son histoire, enfin je l'écoutais me mener en bateau tout en jouant un peu la blonde qui le croyait et qui était passionnée par tout cela alors qu'en réalité, plus l'histoire avançait et moins j'y croyais. Mais je m'amusais bien en l'écoutait, je réalisais également qu'il était assez convaincant et doué pour inventer une histoire plus ou moins crédible mais sur le coup, je m'en fichais. C'était surement un assez bon menteur mais là tout était un jeu et son rire le trahissait. Je riais également, tout en écoutant son histoire de kidnapping. « Que les hommes sont cruels, tu aurais pu être l'attraction du zoo. » Je souriais en voyant son air faussement abattu et son coeur brisé. « T'inquiète pas, je suis sur que tu trouveras une gentille petite famille pour te prendre, enfin si tu évites ce genre de position, tu risques de les terroriser. » Je riais, j'entrais dans le jeu et je m'y amusais plutôt bien. Je décidais en bonne élève attentionnée, de lui prouver que je l'avais écouté en lui pinçant les fesses, tout en riant légèrement. Suite à cela, il s'était vengé en m'attaquant avec des chatouilles, ce qui me faisait éclater de rire, alors que j'essayais de me défendre comme je le pouvais. Au bout de quelques instants, il s'arrêta et repris son "cours" là où il l'avait arrêté. « Oui, je veux ! » Je riais avant de prendre l'élastique à mon poignet et t'attacher rapidement mes cheveux, en faisant un genre de chignon. Je tapais ensuite dans mes mains avant de le regarder. « Alors mon autruche préféré, je fais comment maintenant ? »