Un ascenseur ? elle n’en revenait pas. D’habitude, elle utilise les escaliers, étant très sportive, elle profite de chaque occasion pour faire du sport. Mais là, ça lui faisait de l’œil, il faut qu’elle teste cet ascenseur, il a l’air génial ! Tester un ascenseur, cela peut paraître un peu bizarre, mais elle veut monter dedans comme on monte dans une attraction. Après tout, elle n’a rien d’autre à faire, en même temps que voulez vous faire dans cette maison, certes le village est très beau, mais bon pas de quoi s’occuper toute la journée. Il y a bien la salle de sport, la piscine ou les terrains de sport en extérieur. Elle entra donc dans la « cage de fer », alors que les portes commençaient à se refermer, elle entendit quelqu’un arriver. Elle retint la porte pour ce candidat ou cette candidate dont elle ignorait l’identité. Elle pensa soudain aux blocages des ascenseurs.

Nous étions le 16. Il était temps que je m’inquiète de tester la moellosité des canapés. Je m'amusais lestement à sautiller dessus, à m'y rouler-bouler, et à y faire diverses pirouettes. Oui, ils étaient fort confortables. J'y passerai plus de temps à l'avenir. Une blonde passa, sans me prêter la moindre attention. Rosaline, une gentille fille, mais détraquée sexuelle. Elle se dirigeai vers l'ascenceur. Non, elle n'allait tout de même pas.. ? Je décidai de la suivre. L'inconsciente ! Elle entrait dans la machine satanique ! Est-ce que je devais l'empêcher de grimper là dedans ? J'arrivai devant les portes, elles étaient juste en train de se fermer. « Tu ne devrais pas monter là dedans. Cette machine, c'est le diable. » Elle me regardait d'un drôle d'air.

Le fameux candidat était Felix, enfin il lui semble, elle ne lui avait encore jamais parlé seul à seul. Si ses souvenirs sont bons, il y a eu une histoire d’eau avec lui lors du prime, avec Esteban aussi, c’est d’ailleurs lui qui lui en a parlé. Il lui dit de ne pas monter dans l’ascenseur, selon lui ce serait le diable. Elle était déjà dedans, elle ne comptait pas redescendre juste parce qu’un mec qui lui était pour l’heure inconnu, lui disait de ne pas monter de dedans. « tu montes pas ? moi je montes, tant pis je met ma vie en danger. Viens, on va pouvoir s’envoyer en l’air. » dit-elle en rigolant. Elle espérait qu’il ne prenne pas cette dernière proposition dans le mauvais sens du terme, c’était une phrase à double sens, c’est ça qui la faisait bien rire.